Le claquement de la porte retentissait dans la rue, les lumières des lampadaires jouait avec les ombres des poteaux et des arbres le long du bâtiment mais également avec une silhouette fine qui ne tardait pas à faire claquer ses talons contre l'asphalte. La nuit était froide alors que le vent n'arrangeait rien faisant se balançait les cheveux bouclés.
Le bruit sec des talons continuait de retentir, jusqu'au moment ou le corps fut baignée de lumière. Une femme se tenait fièrement regardant quelques secondes le bâtiment représentant la justice. Le calme des lieux était troublée et cela par sa faute. D'ici et là des hommes encerclait le bâtiment alors que les aboiements de certains chien de la brigades canine, donnait un aspect encore plus irréelle à l'action qu'elle avait entreprise sous les ordres d'un seul homme.
La femme continuait d'avancée pour se dirigeait vers les marches blanches du l'étendard de la justice. Comme elle l'avait ordonné tous porter le masque anti-émeute. Elle était satisfaite de savoir que ses ordres avait été suivit à la lettre prêt et cela dans un si court délais. Elle même avait mis une protection pour son visage bien moins sécurisante que les casques, elle ne s'était pas doutée de pouvoir remontée sur le terrain si vite, donc elle portait un masque de bal, cachée à la va vite dans sa boite à gants. Finalement, elle ne regrettait pas de l'avoir laisser là.
Une fois arrivée tout en haut des marches, une jeune femme avec de long cheveux ébène lui arrivant à mis dos se dirigeait vers elle,malgré qu'elle portait le casque de protection ainsi que l'uniforme du policier, Makoto reconnaissait directement une de ses plus fidèles policières. Elle l'a saluait d'un signe de tête alors que sans attendre la brune entamait son rapport.
- Nous avons sécurisez complètement le périmètre. Personne ne peut sortir ni entrer sans être remarquer. Elle faisait un rapide signe de main dans le dos de sa supérieur et une dizaine d'homme apparaissait comme des diables sortit de leur boites. Si la métisse n'avait pas était aussi habituée à cette formation; elle aurait presque sursautée.
- Voici des hommes qui vous accompagnerons dans le palais. Nous avons placer quelque homme dans celui-ci également mais par mesure de sécurité. Makoto ne faisait qu'hochée la tête devant les donnes de sa subordonnée qui avait fait son travail à merveille. Sans attendre plus longtemps, la chef de police entrait dans le lieu. Elle ordonnait que des groupes de deux afin de se repartir la tâche du travail, gardant auprès d'elle une jeune recrue de l'unité canine.
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La chef de police avançait dans l'immense palais sans pour autant savoir trop se qu'elle cherchait. Dans sa tête, la vidéo que L, lui avait envoyé ne cessait de tourbillonné. Chaque pas, chaque claquement de talons contre la reproduction grotesque du faux marbres retentissait, l'écho de ses pas percutait le silence et le rompant. Même le chien à ses côtés n'osait respirait trop fort alors que les couloirs à peines éclairer avait de quoi en effrayer plus d'un. L'investigation durait ainsi plus d'une heure. Chaque endroit avait été passer au peigne fin mais il n'y avait pourtant aucun indice.
Makoto refusait d'y croire, L n'avait pu se tromper ! C'était quelque chose absolument impossible ! Elle voyait bien que ses hommes perdaient leur motivation et la fatigue devait commencé à les ronger. Pourtant elle avait beau sillonné les couloirs et rien. Pas le moindre indice ! La policière essayait de restée calme alors que le maître chien s'était éloignée, celui-ci ne semblait même plus être sur ses gardes ni faire le moindre effort. La métisse quand a elle ne lâchait pas l'affaire et essayait de réfléchir entre un précieux indice et le fichier qu'elle avait visionner mais rien ne lui venait à l'esprit.
Soudain relevant la tête, la jeune femme laissait plantée là son coéquipier provisoire pour courir vers une partie du batîment ou ils étaient passée plusieurs fois. Se détail venait de la frappée à l'instant. Devant la salle d'audience, il y avait une sculpture magnifique, le représentation de la justice, son avatar: La balance. Aucun de ses hommes n'avaient surement pensée à regarder l'œuvre d'art de prêt. S'il y avait bien quelque chose d'anormal sur la représentation de la justice elle même. Makoto avait comme intuition que ce n'était une personne ordinaire.
Essoufflées par sa course, l'adulte commençait a inspecter l'icône. Cela devait lui prendre plusieurs minutes mais elle ne voyait toujours rien, elle prenait une bonne inspiration alors qu'elle prenait des gants, ainsi elle pouvait touché l'objet sans y laisser ses traces. Elle allait se faire à l'idée qu'aucun indice ne se trouvait là quand justement ses doigts clissèrent de façon différentes sur le plateau représentant le mal. Elle fronçais les sourcils alors qu'elle le tirait à elle.
Heureusement que l'endroit était désert car dans n'importe quel film la porte de l'audience se serait ouverte et la seule preuve trouvée aurait filée avec les courants d'air. La policière ramenait dans sa paume l'objet pour remarquer qu'il était rectangulaire. Décidément intriguée, elle trouvait un bien étrange objet, une carte.
Makoto restait interdite un moment devant le morceau de carton, l'indice était une carte ? N'attendant pas plus longtemps, la jeune femme sortait son téléphone portable et parcourait vite les touches afin de faire un numéro. Numéro qu'elle devrait surement utilisé souvent à l'avenir car c'était tout de même la deuxième fois qu'elle le composait en une soirée.
- L ? Ici Makoto, j'ai trouvé l'indice.